Biens symboliques / Symbolic Goods (revue)

Créée en 2017, Biens symboliques / Symbolic Goods est une revue semestrielle de sciences sociales, à comité de lecture. Bilingue et interdisciplinaire, la revue prend pour objet les biens symboliques au sens large dont font partie les idées politiques, les pratiques amateures, les produits des cultures populaires, les productions numériques, les discours médiatiques et les divers éléments constitutifs des styles de vie (vêtements, habitat, nourriture, etc.). 

La revue accueille des auteur·rices des différentes sciences humaines et sociales, car c’est moins l’appartenance disciplinaire que les démarches d’enquête sur les arts, la littérature, les pratiques culturelles ou les idées qui donnent son unité à la revue. Si la réflexion théorique n’en est pas exclue, la revue revendique son attachement au caractère empirique des travaux proposés, quels que soient les moyens d’investigation privilégiés (recherche en archives, ethnographie, statistiques, analyse de discours, d’images, etc.). Les modalités de soumission sont précisées ici pour les dossiers thématiques,  pour les articles Varia, et sur cette page pour les rubriques. Les auteur·rices sont invité·es à consulter les normes de la revue ainsi que la charte éthique.

Biens symboliques / Symbolic Goods est une revue semestrielle exclusivement numérique, diffusée en « modèle diamant » sur OpenEdition Journals, offrant à son lectorat un accès totalement ouvert à l’ensemble de ses articles. Ce choix s’inscrit dans la perspective d’une libre circulation de travaux de recherche, réalisés pour l’essentiel sur fonds publics.

Chaque numéro est composé d’un dossier thématique, d’un ou deux articles Varia, et de rubriques qui alternent d’un numéro à l’autre : « (Re)lire », « Traduire », « Transmettre », « Métiers » et « Regards sur… ». On en trouvera le descriptif sur cette page. Régulièrement, des numéros uniquement composés d’articles Varia sont proposés au lectorat. Les dossiers thématiques et les Varia font l’objet d’une publication en français et en anglais, grâce au travail d’une équipe de traduction professionnelle.

Les numéros 1 à 7 furent publiés sous la responsabilité des Presses universitaires de Vincennes et les numéros 8 à 13 sous la responsabilité de l’Université Paris Lumières.

La revue bénéficie du soutien de CNRS Sciences humaines et sociales.

Direction de la publication

Philippe Gervais-Lambony, en qualité de président de l’université Paris Nanterre.

Rédaction

Rédaction en chef : Cécile Barth-Rabot (sociologue, master métiers du livre et de l’édition de l’université Paris Nanterre, Cessp-CSE) ; Jérémy Sinigaglia (sociologue et politiste, IEP de Strasbourg, Sage).

Éditrice : Lison Burlat (IE CNRS, MSH Paris-Saclay), symbolicgoods@gmail.com.

Comité de rédaction

Celia Bense Ferreira Alves (sociologue, département de langues et littératures anglaises, université Paris 8, Cresppa-CSU) ; Frédéric Chateigner (politiste, département carrières sociales, IUT de Tours, Citeres) ; Claire Desmitt (sociologue, département sciences de l’éducation, université Paris 8, Circeft-Escol) ; Clément Dessy (historien de l’art, Assistant Professor, School of Modern Languages and Cultures, University of Warwick, chercheur qualifié FNRS à l’université libre de Bruxelles) ; Claire Ducournau (sociologue, département de lettres modernes, université Paul-Valéry-Montpellier 3, Rirra21) ; Karim Fertikh (politiste, IEP de Strasbourg, Ciera) ; Isabelle Gouarné, politiste, CNRS, Curapp) ; Mathieu Hauchecorne (politiste, département de science politique, université Paris 8, Cresppa-Labtop) ; Wenceslas Lizé (sociologue, département de sociologie, université de Poitiers, Gresco) ; Michela Passini (historienne de l’art, CNRS, IHMC) ; Marc Perrenoud (sociologue et anthropologue, université de Lausanne, ISS-Laccus) ; Aurélie Pinto (sociologue, enseignante-chercheuse en sciences de l’information et de la communication, département cinéma et audiovisuel, université Sorbonne Nouvelle Paris 3, Ircav) ; Frédéric Poulard (sociologue, université Paris Cité, LCSP) ; Marie-Pierre Pouly (sociologue et angliciste, département de sociologie, université de Limoges, Gresco) ; Arnault Skornicki (politiste, département de droit et science politique, université Paris Nanterre, ISP) ; Séverine Sofio(sociologue, CNRS, Cresppa-CSU) ; Josselin Tricou (sociologue, université de Lausanne, Institut de sciences sociales des religions, Laboratoire d’études de genre et de sexualité)

Comité scientifique

Françoise Benhamou (économiste, université Paris 13, France) ; Stéphane Bonnery (chercheur en sciences de l’éducation et de la formation, université Paris 8, Escol, France) ; José Virgilio Borges Pereira (sociologue, Universidade do Porto, Portugal) ; Anna Boschetti (chercheuse en littérature française, Università Ca’Foscari di Venezia, Italie) ; Philippe Bouquillion (chercheur en sciences de l’information et de la communication, université Paris 13, LabSIC, France) ; Christophe Charle (historien, université Paris Panthéon-Sorbonne, IHMC, France) ; Roger Chartier (historien, Collège de France) : Marie-Pierre Chopin (chercheuse en sciences de l’éducation et de la formation, université de Bordeaux, CeDS, France) ; Philippe Coulangeon (sociologue, CNRS, Sciences Po, OSC, France) ; Robert Darnton (historien, Director of the University Library, Harvard University, États-Unis) ; Éric Darras (politiste, IEP de Toulouse, LaSSP, France) ; Timothy J. Dowd (sociologue, Emory University, États-Unis) ; Vincent Dubois (politiste, IEP de Strasbourg, Sage, France) ; Jean-Louis Fabiani (sociologue, EHESS, Cespra, France) ; Marion Fourcade (sociologue, UC Berkeley, États-Unis) ; Anthony Glinoer (historien de l’édition et sociologue du littéraire, université de Sherbrooke, Québec, Canada) ; Johan Heilbron (sociologue, CNRS, Cessp, France) ; Laurent Jeanpierre (politiste, université Paris 8, Cresppa, France) ; Béatrice Joyeux-Prunel (historien de l’art, professeure ordinaire en Humanités numériques, université de Genève) ; Joseph Jurt (chercheur en littérature française, Universität Freiburg im Breisgau, Allemagne) ; Giselinde Kuipers (sociologue, Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas) ; Bernard Lahire (sociologue, École normale supérieure de Lyon, Centre Max Weber, France) ; Michele Lamont (sociologue, Harvard University, États-Unis) ; Françoise F. Laot (chercheuse en sciences de l’éducation et de la formation, université Paris 8, Cerlis, France) ; Tristan Mattelart (chercheuse en sciences de l’information et de la communication, université Paris 2 Panthéon Assas, Institut français de Presse) ; Ségolène Le Men (historienne de l’art, université Paris Nanterre, HAR, France) ; Frédérique Matonti (politiste, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Cessp, France) ; Gérard Mauger (sociologue, CNRS, Cessp, France) ; Pierre-Michel Menger (sociologue, Collège de France) ; Jose Luis Moreno Pestaña (philosophe et sociologue, Universidad de Cadiz, Espagne) ; Dominique Pasquier (sociologue, CNRS, Télécom ParisTech, France) ; Louis Pinto (sociologue, CNRS, Cessp, France) ; Bernard Pudal (politiste, université Paris Nanterre, Cresppa, France) ; Hyacinthe Ravet (sociologue et musicologue, Sorbonne Université, IReMus, France) ; Violaine Roussel (sociologue, université Paris 8, Cresppa, France) ; Marco Santoro (sociologue, Universita di Bologna, Italie) ; Gisèle Sapiro (sociologue, CNRS, EHESS, Cessp, France) ; Hervé Serry (sociologue, CNRS, Cresppa, France) ; Elizabeth Silva (sociologue, The Open University, Royaume-Uni) ; Anne Simonin (historienne, CNRS, Cespra, France, Maison Française d’Oxford, Royaume-Uni) ; Quentin Skinner (chercheur en humanités, Queen Mary University of London, Royaume-Uni) ; Marie-Eve Therenty (chercheuse en littérature française, université Paul-Valéry Montpellier 3,  Rirra21, France) ; Olav Velthuis (sociologue, Universiteit van Amsterdam, Pays-Bas) ;  Alain Viala (chercheur en littérature, University of Oxford, Royaume-Uni)

Équipe de traduction

Vers l’anglais : Jean-Yves Bart, Clare Ferguson, Daniela Ginsburg, Delaina Haslam, Katharine Throssell, Hayley Wood.

Vers l’espagnol : Paola Diaz, Manuela Valdivia.

Vers l’allemand : Bernard Muller.

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